Prêt- à- porter.

Un petit résumé de la pièce de théâtre que nous verrons.

Paris, au milieu du XXème siècle, dans la maison des Kampf. 

Mme et M. Kampf ont une fille, Antoinette. Ils sont de nouveaux riches.

Mme. Kampf dit à sa fille: quand ta mère entre, tu dois te lever, tu te lèveras rapidement, mets-toi face au mur, tends tes bras, tiens- toi droite, on dirait un bossu. Tu es de la haute société maintenant. Nous allons faire un bal et un défilé de mode pour nous présenter à la bonne société et montrer les créations de ton père, dessinateur de haute couture.

Antoinette pense : on va montrer les nouvelles créations de papa. Nous sommes riches mais avant nous étions pauvres et on louait un grenier dans la vielle ville sans eau ni électricité. Ma mère était femme au foyer et mon père avait un magasin de tissu et vêtements.

Avant les Kampf étaient pauvres. Rosine pensait :il y a des gens qui vivent bien. Dans ce cloaque plein de fuites, toujours à balayer, à laver. Quelle vie, pauvre  de moi.

Antoinette exclame: nous sommes riches maintenant. Papa est dessinateur de mode et il fait de la haute couture.

Je ne peux rien raconter de notre ancienne vie. Si quelqu'un pose la question je dois dire qu'on vivait dans le Midi.

Mme Kamp dit à sa fille qu'elle doit l'aider à écrire les enveloppes des invitations pour le bal et le défilé.

Antoinette pense que sa mère la traite comme un chien, elle est très fâchée.

Le lendemain, Antoinette doit aller à son cours de piano, accompagné par Marcel, le majordome. Antoinette l'appelle mon Roméo. Elle est amoureuse.

Antoinette parle à Jacques, le prof de piano. Elle lui donne l'enveloppe avec l'invitation. Il y aura 300 invités, un podium, les coulisses,... La fête commencera à 10 heures.

Antoinette, après les cours,  attend le retour de Marcel qui vient avec une jeune fille...sa nièce, il dit. Mais Antoinette, au milieu d'un pont voit les amoureux s'embrasser et traversée par la jalousie...elle prend toutes les enveloppes et les jette dans la Seine.

Antoinette et Marcel rentrent à la maison et ils racontent que les invitations ont été envoyées. Antoinette gardera le secret sur la nièce et Marcel sur les invitations.

Le jour du bal arrive.

La maison des Kampf est une maison de fous et Rosine est très nerveuse. Ça fait trois nuits que je ne dors pas, je ne peux pas me couper en deux, je vais devenir folle, et les modèles, toujours pas arrivés?

Les modèles défilent. M Kampf dit: tu as reçu des réponses de nos invités? Non mais, personne n'a dit qu'il ne viendrait pas.

Marcel sert le dînner à Antoinette. Il vaut mieux que vous dîniez, vous devez vous coucher tôt. 

Un modèle s'est trompé, il cherche les loges. Il pense que les vêtements sont difficiles à porter.

L'horloge sonne, les musiciens répétent. Antoinette sait que personne ne viendra.

Mme Kampf fait les cent pas. La sonette ...C'est Jacques, le prof de piano. Kampf l'offre du Champagne mais Rosine se fâche. Amène lui quelque chose de la table des serveurs, du Champagne et du caviar à cet animal?

Mme Kampf attend beaucoup de monde, des gens charmants. Elle pense que les gens sont en retard comme habitude mais à onze heures... toujours personne. Mme est très affectée et elle commence à crier: tout est de ta faute, ta vanité, dessinateur de mode, haute couture. Ils se sont foutus de toi!

Son mari réponds: quand je t'ai rencontré tu étais personne, une femme perdue qui se traînait comme une misérable dans je sais pas quel bas fond J'ai fait une affaire avec tes grands airs, tes manières de marchande de poisson Finis les défilés, les bals, le caviar...Finie la haute couture À partir d'aujourd'hui, tous les vêtements qui entreront dans cette maison seront du Prêt -à -porter

Antoinette avoue qu'elle a jeté les invitations dans la Seine.Elle ne comprends pas pourquoi il faut croire aux apparences, à la haute société. L'important c'est l'amour. Elle part avec Marcel, son Roméo.

Quelques années plus tard Antoinette dit: quand j'étais petite j'étais une vrai peste, mes parenst ont voulu organiser un défilé et un bal luxueux mais à la fin c'est le prêt -a- porter qui a vaincu.